Le recouvrement de vos créances impayées est une problématique qui peut engendrer des conséquences à différents degrés. Du simple manque à gagner, en passant par la perte d’image de marque, la détérioration de la trésorerie (BFR), du résultat annuel jusqu’à mettre en péril l’entreprise.
Rappelons ici qu'une défaillance d'entreprise sur quatre est la conséquence de l'impayé.
Les statistiques du ministère de l’économie montrent que les échéances sont dépassées dans 30% des cas.
Nous avons observé 2 types de retards :
Moins de 3 mois, le débiteur gère sa trésorerie et vous impose une "casquette de banquier"
Plus de 3 mois, le débiteur ne veut pas ou ne peut pas payer, dans 90% des cas il est dans une situation économique délicate qui se dégrade et se dirige vers une défaillance et l'irrécouvrabilité de la créance.
Plus le retard est important, plus il montre une situation inquiétante.
Réagir au plus vite à un retard de paiement
**Le pire ennemi d’une créance est l'inaction**
La rapidité de vos relances est la clé pour maximiser vos chances de réussite. Détecter rapidement le retard de paiement grâce à votre balance âgée. Vos relances doivent être rythmées, vos messages progressifs et votre cadence structurée (mails, appels téléphoniques, intervention du commercial, mise en demeure), l’objectif étant de définir très tôt le motif du retard et agir en conséquence.
Externaliser le recouvrement pour sécuriser ses créances : le recours à un cabinet spécialisé doit se faire mais dans des temps cohérents, Les statistiques France, montrent qu’en moyenne un créancier confie son dossier 4 à 5 mois après son échéance, ce qui parfois peut se révéler trop long.
Nous préconisons 3 mois chez RMS.
07 juin 2019
Les chances de recouvrement diminuent avec le temps
Le pire ennemi d’une créance est l'inaction